A missing victim. A jury room. A witness. est un nouveau projet à travers lequel Karen Bernard continue avec les thèmes de mouvements et de gestes de danse iconiques qui représentent le déclin du glamour et la femme invisible d'un certain âge. Planant entre les époques, une tempête de références est créées sur le corps.
Création: Karen Bernard
Performeuses: Karen Bernard et Lisa Parra
Biographies:
Basée à New York, Karen Bernard est chorégraphe et artiste interdisciplinaire qui de tout temps a créé et performé des solos. Elle a commencé à étudier la danse à l'âge de 3 ans avec son père, Steven Bernard, un membre pendant plus de 20 ans de la compagnie du pionnier Charles Weidman. L'école de danse de son père étant dans la maison dans laquelle elle a grandit, l'art de la performance a profondément enraciné sa vie. Artiste, fondatrice et directrice de New Dance Alliance (NDA), elle performance, enseigne, donne des conférences, siège sur des panels et s'est vu octroyée plusieurs résidences à travers les États-Unis, le Canada et l'Europe. Cette pollinisation croisée renforce son dialogue avec des artistes internationaux et témoigne d'un engagement de longue date avec la performance.
Lisa Parra est chorégrahe et performeuse basée à New York. Son travail a été présenté à New York au Center for Performance Research, Movement Research, New Dance Alliance, Triskelion Arts Center, Green Space et à Experimental Media and Performing Arts Center. Internationalement, son travail a été présenté au Portugal au Centro para os Asuntos de Arte e Arquitectura in Guimaraes, Fábrica de Movimentos à Porto, et DVIR CAPa à Faro, au Performática Dance Festival à Puebla, Mexico; en Espagne au Gracias x Favor festival au théâtre Pradillo à Madrid, au Bilbao Eszena à Bilbao et à Barcelone au festival IDN. Lisa est en ce moment artiste en résidence à Movement Research et soutenue par la fondation Mertz-Gilmore. En parallèle à son travail, elle collabore aussi avec l'artiste Daniel Pinheiro sur le projet de recherche en cours LAND et a performé dans le travail de Karen Bernard et l'artiste de théâtre français Pascal Rambert.